(LAG/UQ) L’Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue veut en savoir plus sur les effets des changements climatiques sur les écosystèmes forestiers nordiques et prend le leadership d’un projet qui « exploitera » le plus long et le plus complet suivi intra-annuel de la croissance des forêts boréales.

 

« Ainsi, avec la collaboration de l'Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) et la mise à disposition d'un jeu de données unique, les chercheurs auront accès à 18 années de suivi de croissance intra-annuelle. En plus du partenariat clé avec l'UQAC, ce projet sera également réalisé en collaboration avec le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP) et Produits forestiers Résolu. » Les espèces qui intéressent particulièrement les chercheurs sont l’épinette noire, le sapin baumier, le peuplier faux-tremble et le pin gris.

 

Les résultats obtenus permettront de mieux caractériser et anticiper les effets du changement climatique sur les écosystèmes et ainsi développer des stratégies sylvicoles adaptées. Les territoires d'étude se situent en Abitibi, au Lac-Saint-Jean et sur un gradient de sites expérimentaux qui arrive jusqu'au bassin de la rivière La Grande (53e parallèle).

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